Aujourd’hui, le plus petit État de l’Union indienne est aussi l’un des plus...
- Papiers (UE) :
- passeport valide pendant au minimum 6 mois après le retour prévu, et disposant de 3 pages vierges (dont 2 face à face) ;
- visa :
- e-Tourist visa (60 jours maximum ; visa à 2 entrées ; formalités en ligne) ;
- ou Regular Visa (visa à entrées multiples).
- Vaccins conseillés :
- vaccins universels (DTCP, hépatite B) ;
- rougeole, oreillons, rubéole (ROR) ;
- hépatite A (vivement recommandée) ;
- typhoïde (conseillée) ;
- en cas de séjour prolongé dans le nord de l'Inde, méningite à méningocoque (A + C) (recommandée, en particulier aux voyageurs de moins de 40 ans) ;
- pour les trekkeurs en Inde du Nord : rage ;
- pour les expatriés et/ou les séjours ruraux (en Inde du Nord, en particulier en zone de rizières et en période de mousson ; en Inde du Sud, pour des séjours supérieurs à un mois) : encéphalite japonaise.
- Meilleure saison : de novembre à mars-avril.
- Durée de vol direct depuis Paris : 12h.
- Décalage horaire : + 3h30 en été, + 4h30 en hiver.
Voyage Goa
Goa est un État – et pas une ville – qui s’étend sur une centaine de kilomètres du nord au sud et une cinquantaine d’est en ouest. Cette enclave de 3 700 km², portugaise jusqu’en 1961 (et donc jamais britannique), est baignée par la mer d’Oman. La capitale, Panjim (Panaji), fait figure de petite capitale culturelle à taille humaine et exerce un charme puissant.
La majorité des touristes n'y reste pas bien longtemps, car elle vientsurtout à Goa pour ses magnifiques plages ! L’État compte 120 km de littoral sur lequel se prélassent autant d’Indiens que d’étrangers pendant la belle saison. De novembre à mi-avril, le plus petit État d’Inde voit ainsi doubler sa population.
Goa, c’est déjà toute l’Inde du Sud avec sa lumière, son climat, ses terres fertiles et verdoyantes, sa végétation tropicale aux fleurs éclatantes, et des paysages de cocotiers et de rizières, le tout bordé de longues plages de sable doré.
En montant vers le nord ou dans les terres, endormies sous les palmiers, les églises immaculées et les coquettes maisons colorées, décorées d’azulejos (céramiques portugaises) ou aux charmes plus délabrés (témoins de la grandeur passée), cohabitent avec les temples hindous.
Malgré une forte identité locale dont témoignent la langue et la religion, l’hindouisme est devenu majoritaire. Quand on vient à Goa, on choisit une plage selon ses envies : une bourgade paisible ou une station animée, une population plutôt baba, bobo ou bling-bling, un côté jeune ou plus familial...